Théâtre Isidore

Compagnie professionnelle depuis 1988

Un comédien dans la classe

Emmener les élèves au théâtre n’est jamais facile. On doit disposer d’une demi-journée, d’où perturbation des cours. Il faut aussi souvent utiliser un moyen de transport. Avec le théâtre en classe, le(s) comédien(s) vien(nen)t dans votre classe et se produi(sen)t pendant vos heures de cours.

C’est aussi une approche différente du théâtre. Les élèves ont devant eux, presque à le(s) toucher, un (des) comédien(s). Il n’y a pas d’obstacle entre le lieu scénique et le public. Bien qu’étant dans leur classe, les élèves sont emportés dans le lieu imaginaire du texte.

Une première heure est dédiée à la représentation. L’heure suivante est un retour à la réalité où le(s) comédien(s) répond(ent) aux questions que se posent les élèves.

Les spectacles proposés pour le théâtre en classe sont autonomes techniquement.

Ils en parlent...

Une pièce de théâtre sur les « poilus » de la guerre 14-18 - Laval

Ouest-France, 25 avril 2012


Le dernier survivant de Quatorze au collège Alain Gerbault


Lundi, 80 élèves de 3ème du collège Alain-Gerbault ont assisté au Dernier survivant de Quatorze, une pièce de théâtre, tirée d'un livre de Henri-Frédéric Blanc, jouée par Roland Lancelot du Théâtre Isidore.

Le comédien a raconté l'histoire d'un « poilu » qui décrit de manière parfois sarcastique son vécu de la guerre de 1914-198, avec son franc-parler.

« Cette action s'inscrit dans le cadre de l'histoire des arts et du programme d'histoire de 3ème . De façon ludique, cette pièce traite du vécu des « poilus », de leur vie dans les tranchées, du quotidien tragique qui ne cessera de les tourmenter jusqu'à leur mort », souligne Pierre Angot, professeur d'histoire.

Milinda, 15 ans, a bien aimé : « Je suis surprise du langage, la personne âgée revit les faits, très durs, avec une lucidité qui peut parfois nous sembler cruelle. Ils savaient que ça allait être dur, mais pas à ce point, leur quotidien a été terrible. On n'en sort pas indemne. Chaque nuit, ils étaient hantés au point de se demander si c'est cela a bien existé. »

« Cette action s'inscrit dans le cadre de l'histoire des arts et du programme d'histoire de 3 e . De façon ludique, cette pièce traite du vécu des « poilus », de leur vie dans les tranchées, du quotidien tragique qui ne cessera de les tourmenter jusqu'à leur mort », souligne Pierre Angot, professeur d'histoire.